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Courrier : UTR CFDT Secteur 11ème/12ème
Maison des associations du 12ème
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jeudi 29 mai 2014

Diffusion vidéo du congrès confédéral sur CFDT.FR



Le congrès confédéral sera retransmis en direct et en intégralité sur le site Internet de la CFDT. Il sera possible de suivre le congrès en vidéo depuis n’importe quel ordinateur, tablette ou smartphone.
Pour accéder au direct vidéo :
1.     Utilisez votre navigateur habituel (Internet explorer, Chrome, Firefox, Safari…)
2.     Rendez-vous dans la rubrique du site consacrée au 48ème congrès confédéral : http://www.cfdt.fr/portail/congres-2014/le-congres-au-jour-le-jour-srv1_205274
3.     Ouvrez l’article consacré à la retransmission du congrès
4.     Démarrez la vidéo

Le congrès en replay
Pour ceux qui ne peuvent pas suivre le direct ou qui souhaitent revoir tout ou partie du congrès cela est également possible. Les vidéos en replay seront disponibles chaque jour dans la rubrique congrès du site CFDT.FR et sur la chaîne Dailymotion CFDT.
Chaîne Dailymotion CFDT : www.dailymotion.com/CFDT_TV 
Vous pouvez vous abonner à la chaîne pour être averti à chaque nouvelle vidéo

mardi 27 mai 2014

élections européennes

Veuillez trouver ci-dessous, le communiqué de presse n° 30 de la Commission exécutive de la CFDT, intitulé « Élections européennes, contre les replis, redonner un projet à l’Europe ».

Bonne lecture,
Le service de presse

élections européennes

contre les replis, redonner un projet à l’europe

Le résultat des élections européennes d’hier traduit brutalement les effets des différentes crises qui sèment le doute et désorientent de nombreux citoyens, dans notre pays comme ailleurs en Europe.

De nombreux électeurs se sont abstenus ou ont voté en faveur d’un parti qui prône le repli sur soi, la discrimination, la xénophobie et qui oppose les citoyens, les salariés, les uns aux autres.

L’abstention élevée et la poussée du vote Front national illustrent la défiance de nos concitoyens vis-à-vis des institutions, du politique et de l’Europe.

Ce vote est la conséquence d’un projet européen en panne, qui n’offre plus de perspectives de croissance et de progrès partagés.

La CFDT réaffirme que nous avons besoin de davantage et de « mieux » d’Europe : une Europe plus sociale, qui relève les défis d’avenir en engageant une nouvelle croissance et un nouveau mode de développement ; une Europe plus démocratique, qui donne davantage de place aux citoyens et au dialogue social.

C’est pourquoi, la CFDT, avec la Confédération européenne des syndicats, défend le projet d’un plan d’investissement  européen ambitieux pour la création d’emplois de qualité.

L’Europe est le seul espace pertinent pour permettre à notre pays de peser dans le cadre de la mondialisation. Mais  l’Union européenne doit se rapprocher des peuples et répondre à leurs aspirations en offrant un cadre social, économique, fiscal, écologique et démocratique rénové.

Ce vote est aussi la conséquence du manque de visibilité des résultats dans notre pays sur le front de l’emploi et de la lutte contre les inégalités.

Face à cette situation, le rôle du syndicalisme est plus que jamais d’être présent auprès des salariés, de répondre à leurs préoccupations et d’apporter des résultats concrets et du progrès social pour tous, de la cohésion sociale et du vivre-ensemble.

De tout temps attachée à la démocratie et au dialogue social, la CFDT rejette toutes les attitudes extrémistes et fait du progrès social son cap.

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 13 MAI 2014



v Huguette donne des nouvelles de Jean Boussemart que plusieurs membres du secteur sont allés voir dans la maison de rééducation. Il pourrait rentrer chez lui bientôt, ce dont tout le monde se réjouit.

v Situation générale et sociale :

  Internationale :
Point rapide sur les conflits qui continuent un peu partout : Ukraine, Syrie (avec une inquiétude liée aux départs pour le Djihad de jeunes Français dont les familles sont en général bien démunies). A noter, pour la première fois une réaction des autorités musulmanes en France sur ce sujet forcément difficile à gérer.

  En France et en Europe :
Elections européennes
Ces élections se présentent plutôt mal dans la mesure où l’abstention risque d’être très importante. Encore plus que les fois précédentes, on constate un désintérêt très important de la part des électeurs qui ne voient vraiment pas l’intérêt d’aller voter. Plusieurs raisons sont évoquées : un sentiment que l’Europe est à l’origine de tous les problèmes économiques en France, alors que des mauvais choix ont été faits par les hommes politiques successifs (désindustrialisation, non reconversion des productions et des salariés, non prise en compte des problèmes écologiques) et l’ouverture très rapide de l’Europe à des pays de niveaux économiques très disparates a pu entrainer des problèmes de dumping social et des délocalisations d’emplois. Par ailleurs, le manque de vrai pouvoir politique de l’Europe pose le problème de son efficacité. On oublie trop souvent que, grâce à l’Europe, on a la chance de vivre en paix depuis 70 ans !
L’Europe a également permis le développement de certaines régions et le maintien de certaines productions agricoles (céréales, lait..) en France. Et fait nouveau, ces élections permettront d’élire le Président de la Commission.
En France, le manque de lisibilité des actions du gouvernement notamment en matière de prestations sociales et d’impôts d’une part, le gel des salaires et des effectifs de la fonction publique, la non revalorisation des retraites d’autre part génèrent des sentiments de rejet de la part des électeurs.
Enfin, la présence de nombreuses listes - 31 en Ile de France-  ne favorise pas un vote efficace.

v Réforme territoriale :

Bien que tout le monde soit persuadé qu’il est indispensable de diminuer le nombre de strates pour plus d’efficacité et d’efficience, on assiste à un débat politicien  avec des élus qui souhaitent garder leurs privilèges.

v Relations tendues en intersyndicale :
. Une interrogation générale est faite sur les raisons de ces tensions.  Une hypothèse est que la CFDT a évolué alors que la CGT est restée figée sur des positions anciennes. A noter que les positions au niveau national ne reflètent pas les actions au niveau local et des entreprises où la CGT signe des accords qui sont moins favorables que ce que la CFDT signe au niveau national.

v Revendications des retraités :
-  Loi sur le vieillissement
A ce jour, il n’y a pas encore eu de rencontre avec la nouvelle  secrétaire d'état, Laurence Rossignol.
*Un tract UCR a été distribué pour demander que ce projet de loi ne soit pas enterré et rappeler nos préoccupations « Ni report, ni mise en cause de la loi sur l’autonomie des personnes âgées »
*Une distribution a été faite par Marie-Annick et Daniel dans les foyers logements du 11ème. Marie-Annick a rencontré des difficultés pour accéder aux boites aux lettres des résidants et n’a pu finalement effectuer la distribution que dans 3 foyer-logements sur 6. Daniel a été plus chanceux puisque les 5 établissements dépendaient du CASVP et il a pu par l’intermédiaire des gardiens distribuer les tracts dans les boîtes aux lettres.
- revalorisation des petites pensions : la décision du gouvernement est de revaloriser au 1er octobre celles en dessous de 1200 € par mois mais aucune précision encore sur l’application de cette mesure (critères flous, très compliqués…..)

samedi 17 mai 2014

Intersyndicale



Non à la surenchère !

Les équipes d’UTR ou d’URR sont sollicitées par la CGT pour participer à des rencontres Inter UCR locales dans le cadre de la journée d’action du 3 juin organisée par la CGT Retraités.
La CFDT Retraités ne s’inscrit pas dans cette initiative. Elle rappelle qu’elle n’appelle pas à cette journée d’action et recommande aux équipes de ne pas s’y associer.
La CFDT Retraités regrette cet appel unilatéral tant sur la forme que sur le fond.
Le procédé utilisé par la CGT est pour le moins cavalier. Alors même que l’Inter UCR se réunissait en février dernier, la lecture de l’Humanité nous apprend que la CGT organise une action de dimension nationale sur le pouvoir d’achat des retraités. Y sont associées les organisations SUD et FSU alors qu’elles ne font pas partie de l’Inter UCR. Cette positon ne peut qu’affecter l’équilibre de nos relations.
La date du 3 juin, qui a été choisie, tombe pendant la tenue du congrès confédéral de la CFDT. Cela ne tient pas du hasard.
De surcroît, les explications franches et nécessaires n’ont pas pu avoir lieu, car la CGT a décliné l’invitation à la dernière réunion de l’Inter UCR programmée en avril.
La CFDT Retraités est en désaccord sur le fond. Le programme revendicatif présenté par la CGT est démesuré eu égard à la situation économique et des comptes sociaux. À titre d’exemple, la CGT propose l’alignement d’un minimum de pension sur le niveau du Smic qu’elle revendique soit 1 700 euros. Elle fait le grand écart avec la position commune adopté jusqu’alors par les partenaires syndicaux retraités pour une pension égale au Smic net pour une carrière complète. Pour la CFDT Retraités, la priorité reste les basses pensions. Après l’annonce du Premier ministre, nous attendons les mesures concrètes pour la préservation du pouvoir d’achat des pensions inférieures à 1 200 euros.
Pour la CFDT Retraités, le mouvement syndical et les retraités n’ont rien à gagner à cette gesticulation sur fond de démagogie.
La CFDT Retraités invite les équipes syndicales à poursuivre l’action « ni report, ni remise en cause », de la loi pour l’accompagnement de la perte d’autonomie et l’aboutissement de la loi en projet notamment par la distribution massive du tract national.

Michel Devacht,
Secrétaire général

élections européennes

nous avons besoin de « mieux d’europe »

Près de 382 millions d’électeurs, citoyens des 28 États membres de l’Union européenne, sont invités le dimanche 25 mai, à élire les 751 députés européens qui siègeront au Parlement européen pour les cinq prochaines années.

Pour une large part, c’est au niveau européen que peuvent être construites les réponses aux défis de l’emploi et des inégalités. C’est également à ce niveau que peut être efficace la lutte contre les paradis fiscaux et l’évasion fiscale. C’est à ce niveau que doit être menée une politique ambitieuse de développement, préservant les ressources naturelles et la biodiversité.

Les travailleurs et les citoyens ont besoin de plus et de mieux d’Europe. C’est l’absence de coordination et de régulation qui pousse les États à se faire concurrence, ce qui aboutit à accroître le chômage et la pauvreté. 

La CFDT veut une Europe :

  • plus sociale, dotée d’un socle social qui réduise la concurrence entre les États et soit porteur de progrès pour les salariés.
  • plus démocratique, qui donne sa place au citoyen, qui met le débat parlementaire au cœur de la prise de décision et qui donne une nouvelle place au dialogue social.
  • plus dynamique, qui engage un nouveau mode de développement avec un plan d’investissement ambitieux.

Le 25 mai, en votant pour les députés qui siègeront au Parlement européen, nous prenons notre avenir en main, nous pourrons dire ce que nous attendons de l’Europe et de nos futurs députés.

Assurance chômage



Assurance chômage : signature de la convention


Les partenaires sociaux[1] se sont retrouvés ce mercredi 14 mai pour finaliser la négociation assurance chômage, en paraphant la convention d’assurance chômage. L’accord du 22 mars dernier, signé par la CFDT, Force Ouvrière, la CFTC, le MEDEF, la CGPME et l’UPA, avait acté les principes politiques et les nouvelles règles d’indemnisation chômage. La convention doit les décliner juridiquement. Et c’est bien l’ensemble de la convention et de ses textes annexés[2] qui doivent être agréés par l’Etat d’ici fin juin, afin de pouvoir s’appliquer pour les deux années à venir.

Les signataires ont apporté des correctifs dans la convention, tout en conservant l’esprit de l’accord du 22 mars.

  • Prise en compte des jeunes en alternance
A la demande de la CFDT, une annexe a été ajoutée relative aux apprentis et aux salariés en contrat de professionnalisation. En effet, ces jeunes faiblement rémunérés pendant leur alternance (en pourcentage du SMIC) ont droit à l’assurance chômage. S’ils retravaillent en cours d’indemnisation, ils pourront, comme tout demandeur d’emploi, bénéficier des droits rechargeables. La nouveauté : ils pourront également choisir de renoncer à leur droit initial (long mais faible) pour une allocation plus élevée issue de leur reprise d’activité (payée à un salaire égal ou supérieur au smic). Cette option est strictement réservée à ces jeunes alternants qui devront être informés de leurs droits par Pôle emploi.



  • Intermittents (annexes 8 et 10) : modifications des règles sur le différé et du plafond mensuel de cumul salaire/allocation
Les signataires ont modifié à la marge les règles de calcul du nouveau différé d’indemnisation s’appliquant aux intermittents. La nouvelle formule protège davantage les petits salaires : ainsi, les salaires inférieurs à 1,68 smic horaire (contre 1,5 dans la version de l’accord) ne se verront pas appliquer de différé. La règle selon laquelle « plus le salaire est élevé, plus le différé est important » est également renforcée. De plus, le plafond mensuel de cumul d’un revenu d’activité et des allocations chômage a été abaissé à 4 381 € par mois (soit 1,4 fois le plafond de la sécurité sociale en 2014).

  • Le calendrier de mise en œuvre des mesures a été précisé
Les droits rechargeables et les règles de cumul salaire/allocation (hors annexes 8 et 10) seront effectifs au 1er octobre 2014. Cette décision permettra aux personnels de Pôle emploi d’être formés afin de pouvoir informer et expliquer ces nouvelles règles d’indemnisation aux demandeurs d’emploi. Concrètement, tout demandeur d’emploi arrivant en fin de droit à compter du 1er octobre pourra recharger s’il a retravaillé au moins 150 heures au cours de son indemnisation. L’ensemble des autres mesures de la convention seront appliquées au 1er juillet 2014.


Pour la CFDT, avec les droits rechargeables, cette convention marque une étape supplémentaire dans la sécurisation des parcours des salariés et des demandeurs d’emploi, y compris les plus précaires.

Des outils de communication sont d’ores et déjà publiés et disponibles sur le site wwww.cfdt.fr : un « Vrai/Faux » assurance chômage (mis à jour des derniers correctifs) et un tract spécifique intermittents. Un argumentaire sera bientôt disponible. Enfin, un tract à destination des demandeurs d’emploi sera réalisé et distribué mi-septembre, juste avant la mise en œuvre des droits rechargeables.



[1] La délégation CFDT était composée de Véronique Descacq, secrétaire nationale, et de Patricia Ferrand, Lucie Lourdelle et Chantal Richard, secrétaires confédérales.
[2] Règlement général, annexes et accords d’application.

mercredi 14 mai 2014

Lycéennes enlevées au Nigeria

Une violation insupportable des droits fondamentaux

La CFDT signe la pétition initiée par l’Unicef et l’Unesco pour la libération des lycéennes nigérianes enlevées par la secte islamique Boko Haram. Elle appelle ses adhérents à signer également cette pétition.

Bientôt un mois que plus de 200 lycéennes ont été enlevées au Nigéria par la secte Boko Haram. La CFDT est horrifiée et révoltée par cette situation.

Si ces lycéennes sont prises en otage, c’est uniquement parce que ce sont des filles. C’est une violation des droits fondamentaux.

La CFDT défend pour chaque enfant, fille ou garçon, le droit d’aller à l’école. Pour les filles partout dans le monde  l’éducation est le moyen de leur émancipation et un pas vers l’égalité.

Les inégalités entre les femmes et les hommes sont une réalité insupportable. La lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes est un devoir impératif, c’est un engagement de la CFDT.

lundi 12 mai 2014

Déchets radioactifs

La CFDT pose ses exigences pour sécuriser le stockage

Cigéo est un projet gouvernemental de stockage des déchets radioactifs, à Bure dans la Meuse, lancé il y a plus de 20 ans. La CFDT se mobilise depuis l’origine pour sécuriser et optimiser ce stockage afin que :

·        Les salariés qui travaillent sur le site puissent le faire dans de bonnes conditions de santé et sécurité ;
·        Les populations voisines ne soient pas exposées à des nuisances ou à des pollutions.
L’enjeu est de trouver une solution pour un stockage sécurisé. Un débat public a eu lieu dans des conditions difficiles, notamment avec l’expression d’inquiétudes de la part d’une partie des riverains.

Pour la CFDT, la prudence et le respect des conditions de réversibilité sont absolument nécessaires. Le stockage doit pouvoir être stoppé en cas de difficulté ou d’impact sur l’environnement.

Le projet initial prévoyait une exploitation du stockage pour un siècle. La CFDT exige une première phase pilote limitée à une quinzaine d’années afin de permettre une évaluation transparente et sérieuse, avant d’envisager la poursuite du stockage.

Lors de son dernier conseil d’administration, l’Agence nationale de gestion des déchets radioactifs a pris en compte les conclusions du débat public, notamment sur la réversibilité et sur une gouvernance qui associe la société civile.

La CFDT est satisfaite de ces avancées. Elle souhaite maintenant une clarification des conditions du lancement du projet et maintient ses exigences, faute de quoi il serait inacceptable pour la société.

lundi 5 mai 2014

Interview de Laurent Berger

Dimanche 4 mai, Laurent Berger était l’invité de l’émission « Tous politiques » sur France 24 et en partenariat avec Le Parisien.